Mardi 1er Avril 2025 - Maison des associations Jouffroy - Salle Alice Boutavant - 18 h 30 - 

A 1 an de l'élection municipale, j'organise une première rencontre privée avec ceux qui souhaitent s'engager activement d'une façon ou d'une autre pour construire un projet pour la ville et emporter l'élection municipale en 2026.

Il est urgent d'engager le changement pour notre ville dirigée depuis un demi siècle par la même équipe. En 2025, la paupérisation de la ville est engagée, les projets urbains et commerciaux se suivent sans aucune cohérence, des urgences telles que la santé ou la sécurité sont ignorées ou mal traitées.

Pourtant Le Creusot dispose d'un potentiel certain, avec notre socle industriel, notre position géographique préférentielle, la gare TGV, l'université, l'existence d'un hôpital, l'Arc, l'Ecomusée, la proximité de l'A6. Je suis convaincu que notre ville devrait réussir à tous les niveaux et non plonger démographiquement comme c'est le cas actuellement.

Il est urgent d'agir. Je me dois d'organiser les conditions pour qu'une équipe émerge et propose une alternative crédible aux Creusotins.

Dans l'idée de construire l'équipe la plus rassembleuse et la plus large possible, je me mets au travail et je vous propose de nous rencontrer ce mardi.

Nous pourrons ainsi détailler le programme à venir jusqu'à l'été et nous placer dans les meilleures conditions pour être prêts dès la rentrée de septembre.

Merci de me confirmer par courriel secretariat@lecreusot2026.fr ou un sms au 07 49 78 16 69

Maison Associations Jouffroy - Salle Alice Boutavant - 71200 LE CREUSOT

Suivez-le prochain conseil communautaire en live Communauté urbaine Creusot Montceau - YouTube

Maison des associations Jouffroy - 71200 LE CREUSOT

Nous vous invitons à comprendre la réalité de la vie municipale.

Inscrivez-vous vite par mail à secretariat@lecreusot2026.fr

Prochain conseil communautaire : 2 octobre 2024 où participeront Charles Landre & Salima Belhadj-Tahar, conseillers communautaires

CUCM - Conseil Communautaire - 2 Octobre 2024

Conseil municipal où participeront les 5 conseillers municipaux d'opposition : Charles Landre - Salima Belhadj-Tahar - Déborah Bretaire - Marie-France Ferry - Jean-Michel Dufaut

Conseil municipal Le Creusot - 23 Septembre 2024

Salle des Italiens - Rue Saint Henri - Le Creusot

Vous êtes cordialement invité(e) à participer à 

de l’Association ENSEMBLE, qui se tiendra

 MARDI 25 JUIN 2024 à 18 h 30 – Salle Guynemer – 71200 LE CREUSOT

Maison des Associations GUYNEMER - Le Creusot

Charles LANDRE, ainsi que les autres élus d'opposition au conseil municipal du Creusot vous invitent à vous tenir informés et débattre sur un thème précis de la ville Le Creusot, que nous vous communiquerons sans attendre.

Maison des Associations MOUILLELONGUE - Le Creusot

Rejoignez-nous chaque premier lundi du mois, à notre permanence 20 rue de la Marne - Le Creusot, pour un débat de discussion où vous pourrez exprimer votre opinion sur les sujets d'actualité de la ville du Creusot.

Maison des associations GUYNEMER - Le Creusot

Maison des associations JOUFFROY - Le Creusot

Nous vous attendons pour débattre sur l'actualité, échanger nos idées et.... partager un verre de Beaujolais nouveau !

Rendez-vous à la permanence, ce samedi 18 Novembre 2023 à partir de 10h30

Dernier conseil communautaire 2023 - 21 Décembre 2023 où participeront Charles Landre & Salima Belhadj-Tahar, conseillers communautaires

CUCM - Conseil communautaire - 21 Décembre 2023

de l’Association Ensemble, qui se tiendra

 JEUDI 20 JUILLET 2023 à 18 h 30 – Salle Guynemer – 71200 LE CREUSOT

Assemblée Générale de l'association Ensemble

L'association Ensemble vous invite à une série de rencontres pour comprendre la  façon dont sont mises en place les politiques publiques dans notre région. 

A l’échelle de la CUCM, nous souhaitons proposer de l’information, réunir des compétences et  partager des idées pour améliorer l’avenir de notre territoire. 

En cet automne, il nous semblait important de permettre aux habitants d’avoir des moments  d’échanges sur les décisions prises à la Communauté Urbaine Creusot Montceau. 

En effet, en ce qui concerne la politique de l’eau, des déchets, des impôts, des transports, du  développement économique, des opérations d’aménagement, de la sauvegarde du patrimoine et tant  d’autres, des décisions extrêmement importantes sont prises dans l’enceinte de la CUCM sans  toujours être connues et comprises des habitants.  

C’est dans cette optique que nous proposons une première réunion avec Charles Landre, conseiller  communautaire et seule voix discordante au sein de l’hémicycle. 

Durant cet échange libre, nous  pourrons aborder l’ensemble des sujets qui vous intéressent - Lundi 9 octobre à partir de 18 heures 30 Espace de Vie et d'Animation  3 Rue du 11 novembre 1918  71450 Blanzy.

Nous aurons le plaisir de vous y accueillir. 

Espace de Vie et d'Animation - 3 rue du 11 Nov - 71450 BLANZY

Discussion à Blanzy avec Charles Landre : les politiques publiques de la CUCM

Nous allons proposer une conférence par trimestre avec des intervenants qui ne sont pas des élus, sur des domaines précis et invitations ciblées.

La première conférence sera assurée par Eric MICHOUX, président du Groupe Galilé -fort d’un historique dans l’industrie et la manutention depuis plus de 20 ans, le groupe Galilé représente 35 PME emploient plus de 1 000 collaborateurs et réalisent 200M€ de chiffre d’affaires en France et à l’étranger-

Il interviendra pour présenter comment diversifier l’économie d’un territoire et quels éléments prendre en compte pour l’installation des entreprises.

Nous vous attendons nombreux à cette première conférence.

Maison des associations Mouillelongue - 27 Bd des abattoirs - 71200 LE CREUSOT

 Dimanche 3 Septembre 2023 – Salle des Italiens (proche de l'église Saint Henri) Le Creusot

Plateau repas  sur place ou à emporter - 18 € - paiement CB rubrique adhésion - montant libre saisir 18 €

En septembre, fêtons ensemble la rentrée ! 

J'ai le plaisir de vous inviter à une journée de rencontres d'échanges et de partage, dimanche 3 septembre, ouverte, à tous.

Nous sommes tous conscients de la nécessité d'être unis pour porter nos idées. Nous savons aussi combien il faut porter dans le débat public une parole plus ambitieuse, plus claire, et aller au devant de tous ceux qui ne souhaitent plus voter.

 Cette fête de rentrée sera le moment d'échanger ensemble, de découvrir le programme de nos réunions et actions, de disctuer de la façon dont nous pouvons mieux nous organiser et, je l'espère, d'aider tous ceux qui animent une équipe localement.

 Mais ce sera surtout un moment de partage et de compagnonnage.

Plateau repas - 18 € - paiement CB rubrique adhésion - montant libre saisir 18 €

Salle des Italiens - 18 rue Saint Henri - 71200 LE CREUSOT

Rentrée politique - dimanche 3 septembre 2023

Merci de me confirmer votre présence courriel secretariat@lecreusot2026.fr ou un sms au 07 49 78 16 69

350.000 euros d'exonération de Taxe Foncière pour l'OPAC pour faire financer par les Creusotins des fresques et un "chemin paysager" ! Quel sens des priorités !

Nous avons voté contre la délibération proposée par le maire du Creusot lors du dernier conseil.

Il s'agit donc d'exonérer l'OPAC de Saône et Loire du règlement d'une partie de la Taxe Foncière au détriment des finances de la ville. En échange l'OPAC doit réaliser des "actions sociales" à la Molette et au Tennis. Or, lorsqu'on lit le détail des actions proposées nous sommes loin du compte. Entre autres exemples :

- réalisation d'un chemin paysager (40000 euros)

- réalisation d'un jardin partagé (20000 euros)

- financement de fresques murales (70000 euros auxquels s'ajoutent 60000 euros financés directement par la ville)

- mise à disposition de locaux associatifs (29000 euros) 

Cette convention n'est pas acceptable. Elle engage les impôts des Creusotins sur des actions loin d'être prioritaires et rien dont nous puissions mesurer l'efficacité immédiate. 

Évidemment pas un mot, comme dans les contrats de ville, sur la sécurité. 

Surtout, l'exonération de taxe foncière d'un bailleur social qui n'assure pas ses missions de propriétaire vis-à-vis de nombre de ses locataires n'est plus envisageable en l'état à l'heure où chaque euro dépensé doit l'être avec soin.

Il est temps que la ville sorte de ces logiques de dépense publique à l'aveugle et purement cosmétique. La bonne gestion de la ville commence par rompre avec cette manière de dépenser l'argent public aveuglément et sans jamais en mesurer l'efficacité.

Les conseillers municipaux de l'opposition 

Cette semaine nous avons découvert que nous “payons moins d’impôts locaux qu’ailleurs” et que l’INSEE dit “n'importe quoi”. Ces propos hallucinants tenus par le maire du Creusot et président de la CUCM obligent à réagir. 

Si nous avons envie de faire avancer notre ville, il est temps de revenir à la réalité.


Nous sommes plus fiscalisés qu’ailleurs, la population se paupérise, vieillit et diminue malgré les atouts indéniables dont nous disposons depuis 40 ans.

Mais pour David Marti, on paierait donc moins d’impôts locaux alors que le taux de taxe foncière est de 1,25% à la CUCM et de 50,06 pour la ville du Creusot, soit 51,31%, contre 44,98% à Beaune, 15% de plus, et plus qu'à Chalon-sur-Saône (+4%) ou Mâcon (+10,5%). Il le sait bien, lui qui a augmenté ces taux à la CUCM et à la ville sitôt les élections passées.


Deuxième affirmation, l’impôt payé par habitant serait plus faible. C’est oublier que la Taxe Foncière n’est payée que par les propriétaires (et l’OPAC par exemple, en est dispensé par un vote de la CUCM chaque année) et que la valeur foncière des biens est bien plus faible ici qu’ailleurs et les revenus aussi. Les chiffres des chambres des notaires indiquent que la valeur d’un bien vendu dans les 12 derniers mois au Creusot est de 970 euros le m2. Contre 2319 à Beaune, 1739 à Chalon sur Saône, 1964 à Mâcon et même 1212 à Nevers. Dans le même ordre d’idée, alors qu’en 2006 l’impôt sur le revenu moyen au Creusot était de 1611 euros (contre 2363 euros à Beaune), il s’élève à 2235 euros (contre 4642 euros à Beaune).

Enfin nous serions mieux gérés que Beaune car l’endettement de la ville y est de 730 euros par habitant, contre 815 euros. Seulement le budget Beaunois est de 58 millions d’euros contre 46 millions en 2024 au Creusot. La capacité de désendettement de Beaune en 2023 est factuellement de 3,8 ans contre 4,9 ans pour Le Creusot.


Le Creusot est donc en réalité plus fiscalisée et plus endettée qu’ailleurs.


Les petites entreprises, en particulier les artisans, commerçants, indépendants, le découvrent cette année via la Cotisation Foncière des Entreprises de base, dont le montant a été scandaleusement multiplié par 4 ou 5 à la CUCM (une CFE peut passer de 300 à 1200 euros). Le maire du Creusot indique qu’il faut faire payer ceux qui auraient de petits locaux et feraient “1 million d’euros de chiffre d'affaires". Qui sont-ils sur la CUCM ?


La réalité c’est que cette année ces impôts abondent l’augmentation des dépenses de communication de la CUCM ou les 20.000 euros de frais de représentations annuels supplémentaires de David Marti.


Nous découvrons aussi que l’Insee serait coupable de mauvaises statistiques. Pourtant lorsque les Dotations de Solidarité Urbaine, dont est gorgée le Creusot, basées sur ces mêmes statistiques, et qui sont la marque d'une dégradation du tissu social, augmentent, il s’en félicite. Par contre, lorsque l’INSEE signale que la ville est passée de près de 22000 habitants en 2015 à 20500 en 2022 les statistiques seraient soudainement fausses.


Faut-il aussi contester France Travail qui nous attribue le plus mauvais taux de chômage de Bourgogne ? L’Etat qui a décidé que 5 quartiers du Creusot sont en difficulté sociale avancée ? Les données préfectorales sur les déplacements domicile- travail qui montrent que près de 1000 ménages travaillent sur le nord de la CUCM sans désirer y vivre ? Il est temps de faire preuve de sérieux et de compétence. 


En 1937, en Union Soviétique, la bataille autour des statistiques conduisit le pouvoir à purger les statisticiens après avoir estimé que «Le recensement a été saboté ». On en fit faire un autre pour arriver aux chiffres voulus. Nous ne sommes plus en Union Soviétique et les résultats des instituts statistiques sont heureusement indépendants du pouvoir politique.


Le Creusot doit être le poumon économique, culturel et social de l’ouest de la Saône-et-Loire et du centre de la Bourgogne. Nous avons l’immense chance d’avoir les infrastructures pour le faire. Nous y parviendrons au prix d’une rupture claire, en baissant l’impôt local, en dépensant mieux l’argent public, en encourageant ceux qui entreprennent, en impulsant une ville vivante, avec un projet culturel fort et un projet urbain pour des quartiers et des logements qui donnent envie à tous de s’installer ici.

De ça, tout le monde bénéficiera. Il ne faut plus avoir peur de franchir le pas. Commençons par regarder la réalité telle qu’elle est: notre ville et la CUCM ont d’immenses atouts, utilisons-les enfin.


Impôts Locaux et baisse de la population : pour réussir regardons la réalité en face !

Je m'en tiens à un principe simple, l'engagement politique n'est pas là pour garantir un revenu aux élus.

C'est malheureusement trop souvent le cas en France et je me suis opposé lors du dernier conseil communautaire à l'octroi d'une indemnité de représentation de 20.000 euros au président de la CUCM.

Cette enveloppe censée couvrir des frais qu'il engagerait personnellement dans le cadre de l'exercice du mandat intervient en plus des nombreuses indemnités qu'il perçoit déjà, et qui sont précisément là pour ça. Ces 20.000 euros sont une honte.

20.000 euros cela correspond à 2400 euros de plus qu'un SMIC annuel et à quasiment le revenu médian par ménage sur la CUCM (21.600 euros annuels).

Alors que nous avons passé 2 heures à regretter que les politiques publiques essentielles soient rognées en raison des déficits de l'Etat, l'octroi d'une indemnité supplémentaire est inacceptable. Il m'est insupportable de voir qu'en 2024 ces pratiques d'un autre temps perdurent.

Et pour quel résultat sur un territoire qui, démographiquement et socialement subit les échecs d'une politique de toujours plus de dépenses publiques que mêne la même équipe depuis un demi -siècle ?

De nombreux élus m'ont d'ailleurs fait part de leur gêne légitime et de leur souhait de s'opposer à cette délibération. Ils étaient 70, ils ont tous votés pour... Dans un pays si déboussolé, on ne peut même pas compter sur le courage des représentants du peuple. La démocratie dans les assemblées locales est à bout de souffle et le vote sur cette délibération en est la preuve.

Que tout le monde l'ait voté est aussi le signe de la déconnexion accrue entre le peuple et ses représentants.

En réponse m'accuser d'être un "populiste" est du niveau du président de la CUCM. Je n'en attendais pas moins.

Comptez sur moi pour garder ce cap et ces valeurs que, je le sais, nous sommes nombreux à partager.

Je sais qu'un jour, nous parviendrons à faire évoluer ces pratiques et à en revenir à l'essence de l'engagement, la défense de l'intérêt général.

A force de répéter n’importe quoi, on peut se convaincre que c’est vrai.

Ces dernières semaines le maire du Creusot a multiplié les contre-vérités pour justifier sa politique fiscale.

Imposer et taxer sont devenus l’alpha et l’oméga d’une politique municipale qui navigue à vue.

Contrairement à ce que David Marti a affirmé à de nombreuses reprises, les impôts locaux des Creusotins sont extrêmement élevés. Avec 51,56% de taxe foncière c'est bien plus que toutes les villes de plus de 20.000 habitants les plus proches, 15% de plus qu'à Beaune et plus qu'à Chalon-sur-Saône (+4%) ou Mâcon (+10,5%). Considérable. Premier mensonge.

D’autant que la valeur à la vente des biens au Creusot est quasiment deux fois inférieure à ceux de Beaune. Autrement dit on paye plus et on possède moins.

Second mensonge, David Marti avait évidemment promis de ne pas augmenter les impôts. Les Creusotins ont pourtant subi deux augmentations des taux, l'une à la ville, l'autre à la CUCM. Dans les deux cas seul mon groupe s'y est opposé.

Une frénésie de la taxe s’est emparée de l’équipe municipale.

 Ainsi la taxe sur les locaux vacants créé sous ce mandat touche tous ceux qui disposeraient d'un local à usage commercial vide. Curieuse idée que celle de faire payer celui qui ne tire aucun revenu de son bien.

La taxe sur les surfaces commerciales a été portée au niveau maximal prévu par la loi.

Enfin la CFE cotisation foncière des entreprises forfaitaires, celle qui touche les plus petits a été dans certains cas plus que doublée.

Les quasiment 30% d’augmentation du tarif de l’eau sur le mandat complètent le tableau.

Rien ne justifie ces augmentations alors que les ressources de la ville du Creusot n’ont jamais été si importantes. L’allocation compensatrice de la taxe d’habitation (une fraction de TVA reversée) a généré un revenu supplémentaire de près d’1 million d’euros et dans le même temps, parce que la population Creusotine souffre et se paupérise, les dotations de solidarité versées par l’Etat ont augmenté.

Car oui, nous disposons depuis cette année, à la Molette, au Parc et Tennis, à la Charmille, à Harfleur, aux Riaux, de 5 quartiers prioritaires de la ville ou "poches de pauvreté" : Belle réussite !! Dans une communauté urbaine au plus haut taux de chômage de Bourgogne alors que nous ne cessons de perdre des habitants cette politique fiscale est bien injustifiable.

Mais à quoi ont donc servi ces augmentations d’impôts et ressources supplémentaires ? À mettre en place une stratégie économique ? Non, à opérer à l’aveugle en multipliant les subventions aux entreprises sur des critères obscurs et à vendre à la découpe le domaine public.

Après Harfleur pour un énième centre commercial (qui en 2024 peut consciemment penser que c'est une bonne idée pour le développement d'une ville ?)  David Marti n'était-il pas prêt à vendre la place Schneider pour y édifier un centre commercial ? Nous l’en avons empêché et c’est tant mieux.

Aveuglément également en matière d’urbanisme où les 2 millions d'euros budgétés place Schneider, dont 700.000 euros pour planter des arbres à proximité du plus beau parc de Saône et Loire visent à supprimer plutôt que sublimer la seule place de la ville.

La création de logements sociaux à côté de l’église Saint Henri et rue du Vilet dans des quartiers à l’habitat valorisable constituent également des erreurs majeures.

Alors que les routes ne sont pas correctement entretenues, que le maire demande aux habitants de désherber les trottoirs, les dérapages financiers se multiplient :

4,5 millions d'euros pour défigurer le collège Jouffroy (au lieu de 2 initialement)

déjà 3 millions d'euros budgétés en subventions et travaux offerts au propriétaire privé du cinéma du Creusot

un site technopolitain qui coute près de 16 millions d'euros soit plus de 300% du coût initial....

Plusieurs centaines de milliers d'euros pour bitumer le parc de la verrerie,

des millions dans un projet de rénovation du rond-point du monument aux morts qui ne s'imposait pas, 100.000 euros dans une "œuvre utile" que nous n'avons jamais vue...

Autant d’exemples d’une gestion totalement dépassée.


Je le dis clairement, les finances de la ville permettent de répondre à toutes les priorités des Creusotins :

de redonner vie à un centre-ville animé sur la base d’un projet clair,

de donner envie aux jeunes de créer ici des entreprises,

d’assurer la sécurité de tous en développant une police municipale avec des effectifs et des moyens,

de répondre à l’urgence sanitaire, de mener une politique de logement pour que s’installent enfin les 800 ménages qui vivent dans le Grand Chalon mais travaillent au Creusot.

Voici les priorités. Nous en avons les moyens à condition de dire la vérité et de faire preuve enfin de compétence pour sortir du réflexe mortifère de la taxe et de l’impôt.

Loin de la vision de la ville, qu’on la partage ou pas, des équipes précédentes, tout traduit désormais l’absence de projet municipal.

À nous de rompre avec ce marasme et d’avoir l’audace d’imaginer que Le Creusot peut réussir avec moins d’impôts mais plus de compétences, d’imagination et de travail.

L’incompétence municipale c’est aussi de taxer bien trop les Creusotins

PLACE SCHNEIDER : Ainsi donc, les travaux devraient débuter dans quelques semaines après des années perdues de tergiversations en tous genres qui a vu le projet passer d'une "place Schneider numérique" à une place Schneider que la ville voulait vendre pour y implanter un centre commercial (et contre lequel j'ai mené un combat victorieux) à une place Schneider recouverte d'arbres.

C'est dire la vision en matière d'urbanisme de David Marti qui au mieux tâtonne, souvent improvise et toujours détruit un peu plus de ce qui pourrait ressembler à un projet cohérent.

Il y a (autour du Parc, du Château, de la place, des rues Leclerc et Jaurès, du jardin des terrasses), le lieu naturel de rassemblement des Creusotins en même temps qu'un des rares sites patrimoniaux remarquables du Creusot. Ici, il fallait faire preuve d'audace.

S'en tenir à supprimer quelques places de parking et à planter des arbres (pour déjà 700.000 euros budgétés) c'est faire bien peu de cas d'un lieu si important.

Oui on pouvait supprimer toutes les places de Parking. A condition de les remplacer autour et de proposer une solution pour l'accès à la place. Des idées il y en avait, quitte à modifier profondément l'aspect des rues alentours ou acquérir des bâtiments proches pour recréer un parking. Ici, faire croire aux habitants que les places créées à la Molette, soit 500 mètres en contrebas viendront compenser celle de la place Schneider est un non-sens.

Et quand l'on se donne une conscience écologique Place Schneider, à l'autre bout de la ville, à Harfleur, un espace vert et boisé est entrain d'être rasé pour construire un énième centre commercial. Lors du vote d'ailleurs, bien que nous nous y soyons opposés, aucune réaction citoyenne n'est venue soutenir notre démarche.

Cette place sera rénovée à grands frais pour ne répondre à aucune des grandes questions auxquelles est confrontée la ville du Creusot.

Comment organise t'on un espace pour qu'il soit un lieu de vie quotidien bien davantage central qu'il ne l'est aujourd'hui ?

Comment valorise t'on l'espace patrimonial à proximité ?

Comment repense t'on la fonction des rues Marcel Sembat (où l'idée d'une vie commerçante n'a manifestement pas été réfléchie), Jaurès (aujourd'hui en déshérence et pourtant axe central de la ville), de la Verrerie et de la zone piétonne rue de Nolay ?

Comment imagine-t'on les flux de circulation bien au delà du seul quartier (la rue de la Verrerie est, dans le projet actuel, le lieu de dégagement de tout le parking ce qui n'a aucun sens) ? 

Il y avait aussi là l'occasion de réhabiliter le patrimoine tout en répondant aux attentes contemporaines. Rien de tout cela n'a été présenté en Conseil et encore moins débattu.

Cette énième occasion gâchée ne sera certainement toujours pas celle de trop. Mais celle-ci viendra alors que Le Creusot, je le répète, a tout pour devenir un lieu de développement économique et un lieu de vie central au cœur de la Bourgogne.

Prenons enfin ce virage, celui de la remise en question, de la compétence et de l'audace d'un grand projet pour Le Creusot.

Je me battrai pour et je vous invite tous à venir y contribuer.

Charles Landre -leader opposition municipale Le Creusot-

RENOVATION DE LA PLACE SCHNEIDER : SYMBOLE DU GRAND GACHIS CREUSOTIN

Le 15 septembre, nous avons dévoilé ce que nous allions faire, Ensemble, les prochaines semaines et les prochains mois : préparer des projets politiques audacieux et courageux 

LE CREUSOT : Charles Landre lance sa campagne pour les municipales de mars 2026 - Creusot Infos (creusot-infos.com)

Avec un tel socle industriel, une gare TGV, l’autoroute A6 à proximité, un site universitaire, une scène nationale, un hôpital, Le Creusot devrait être, à 1 heure 20 de Paris et moins de 40 minutes de Lyon, un modèle de plein emploi, une ville animée et un lieu d’innovation dont la population croît. Tout est réuni pour que ce soit le cas.


Pourtant, presque 40.000 habitants hier nous ne sommes plus que 20.800 habitants. Avec un taux de chômage de 8,3 % sur la CUCM (25 % plus fort que la moyenne départementale et le plus mauvais de Bourgogne) et 16,1 % de taux de chômage déclaré à l’Insee, avec 19 % de taux de pauvreté et désormais près de 40 % de plus de 60 ans, nous vivons une anomalie démographique et sociale.

Cette année, le classement  par l’État en quartiers prioritaires, du Tennis (étendu jusqu’au quartier du Parc), et de la Molette, auxquels Harfleur, la Charmille et les Riaux s’ajoutent comme « poches de pauvreté » indique que plus d'un Creusotin sur trois vit donc désormais dans un quartier cumulant les critères de pauvreté. Le maire, ce qui est insensé, s’en félicite au nom des dotations supplémentaires que la ville touche.


Cette baisse de la population et la paupérisation ainsi que le chômage persistant, pèsent lourdement sur la ville. Mais avec de tels atouts, pour peu que l’on prenne conscience de ce décalage et que nous osions tout changer, nous pouvons engager un vrai projet de réussite économique qui profite à tous. Un projet en rupture avec ce auquel nous sommes habitués depuis un demi siècle ici.


Il est besoin d’idées neuves, d’un cap et d’objectifs clairs. Fixons nous, pour l’horizon 2030 l’objectif d’atteindre l’un des plus faibles taux de chômage de Bourgogne, que le Creusot et la CUCM deviennent les premiers lieux de création d’entreprise et que le taux de pauvreté chute d’un quart au moins.


Il faut commencer par engager la baisse des impôts locaux puisque de façon insensée la pression fiscale est extrêmement forte avec un taux de taxe foncière de 52,5 % malgré une population dont l’écart de revenu fiscal avec la moyenne Française s’accroît. Le maire a d’ailleurs choisi à deux reprises depuis 2020 d’augmenter les impôts et la taxe foncière, qui est par exemple désormais de 25 % supérieure à celle de la ville Beaune, ville de 20.000 habitants la plus proche. Nous vivons donc cette situation d’échec social à crédit sur le dos des habitants.

Il faut aussi enfin engager la diversification du tissu économique. C’est un long travail qui suppose de choisir et d’exposer une stratégie par filière, de savoir construire un projet pour séduire des entrepreneurs, plutôt que multiplier les subventions aux entreprises ou dépenser des dizaines de millions en infrastructures publiques mal définies. Cette pratique de la subvention et de la structure publique a vécu, elle est aussi coûteuse qu’inefficace.


Le Creusot doit être une grande ville de l’innovation. Nous disposons, avec l’IUT et l’Université d’institutions dont il faut soutenir les initiatives. Mais nous devons imaginer plus grand, les formes les plus malléables possibles d’accueil pour attirer ici les meilleurs cerveaux de France.

Nous disposons de la position géographique, des structures et des infrastructures de transports pour cela. Utilisons les enfin. Cela fonctionne d’ailleurs aussi pour la vie culturelle.


Pour séduire il faut un projet urbain cohérent. Lorsque sur, les seuls déplacements domiciles travail avec la région chalonnaise, 800 personnes viennent travailler chaque jour sur la CUCM sans y vivre, c’est un gros problème. La multiplication infinie des zones commerciales, l’étalement pavillonnaire, la construction systématiques logements sociaux dans une ville qui perd des habitants, la dégradation du patrimoine, sont autant de choix qui fragilisent la ville. Nous devons enraciner un centre ville fort et animé, c’est une priorité, sauvegarder le patrimoine 19ème et 20ème en l’ouvrant aux habitants, limiter la construction aux logements de qualité, et présenter un plan d’entretien des routes et des trottoirs. Nul ne peut avoir envie de s’installer dans des quartiers résidentiels laissés à l’abandon.


Enfin exprimons clairement la volonté de ne plus disposer d’aucun quartier cumulant ces critères de pauvreté dans 10 ans. C’est un choix de rupture qui impose de construire une politique sociale qui ait pour premier objectif de sortir les habitants de la misère et qu’ils deviennent indépendants des politiques publiques municipales. Les politiques sociales ne doivent plus être d’insupportables outils de clientélisme mais des lieux d’accompagnement vers le retour à l’emploi pour tous ceux qui le peuvent. Cette dimension sociale doit être pensée en même temps que le projet économique.


La lutte contre la misère, c’est aussi combattre l’omniprésence de la consommation de drogue et les incivilités répétées qu’elle génère. La lutte contre les trafics doit être totale.


Bâtissons un grand projet de réussite économique. Alors que nous flirtons avec la barre de 20000 habitants, il est indispensable pour la ville et il sera indispensable d’en mesurer, tous les ans, l’efficacité.


Tout doit nous inciter à l’optimisme. Si nous disons la vérité et que nous substituons à l’auto satisfaction permanente, le courage, le travail, la compétence et surtout l’audace d’essayer ici de faire ce que les autres n’osent pas, alors nous réussirons.


Charles Landre
Leader de l'opposition au Creusot
Secrétaire de circonscription Les Républicains

Je souhaite un «plan de réussite économique, au Creusot, face à l'échec démographique et social»

A l’issue d’élections législatives sans réelle campagne électorale où les étiquettes ont tout balayé, aucune majorité pour gouverner le pays ne se dégage.

Dans une assemblée où le NFP et le RN apparaissent incapables de gouverner avec d’autres, nous nous dirigeons vers une coalition baroque qui rassemblera des députés d’horizons divers. Cela générera des déceptions en donnant l’impression que finalement les projets comptent peu et qu’on peut y renoncer pour exercer le pouvoir. C’est, dans le climat de confusions et d’invectives dans lequel est plongé le débat public depuis quelques années, la pire des configurations.

Nous arrivons au bout d’une époque et il est nécessaire que les formations politiques actuelles ou à venir, sortent de leurs slogans pour proposer à nouveau de grands projets pour la France. Que des lignes s’opposent, que des caps différents soient proposés aux Français, mais qu’ils soient cohérents, travaillés et crédibles.

Car la démocratie française reste malade. Les quasiment 70 % d’électeurs aux législatives constituent un niveau de participation encore bien trop faible. Pour que les français retournent massivement aux urnes il faut donner envie de voter pour des projets plutôt que contre des candidats.


Sur la 3ème circonscription de Saône-et-Loire, le député Rémy Rebeyrotte a perdu de quelques voix face au RN. Malgré nos oppositions absolues sur de nombreux sujets, j’ai respecté son ancrage local.
Sa défaite est le signe qu’ici une période s’achève. A nous d’en écrire une nouvelle.

Voici pourquoi il faut être lucides sur la situation de notre territoire et singulièrement de la ville du Creusot. Malgré nos immenses atouts, les politiques publiques locales apparaissent depuis trop longtemps totalement dépassées. Les questions sociales, le délitement des services de santé, la sécurité et la lutte contre le trafic de drogue, le poids des prélèvements obligatoires, la faible rémunération du travail, le chômage et la paupérisation d’une part croissante de la population, l’avenir des jeunes, sont des sujets dont tout le monde parle. Il ne sont pourtant traités par les élus au pouvoir ni avec l’ambition ni avec la transparence ni avec la compétence qu’ils appellent.

L’élection d’un candidat RN totalement inconnu et étranger à notre région à l’issue d’un second tour avec plus de 2000 votes blancs sur la circonscription, marque le rejet manifeste de ceux qui gèrent ce territoire depuis un demi siècle.


Même si le résultat ne nous convient pas, il faut respecter la démocratie. Et ne jamais renoncer à défendre ses idées.


Que le maire du Creusot préfère, plutôt que de déceler dans ce résultat les conséquences de sa gestion de la ville, m'accuser d'être reponsable de ce résultat est risible. 

J’ai été candidat avec la ligne et les idées que j’ai toujours portées et dont je n’ai jamais dévié. Il y avait face à moi, un lepeniste, un mélenchoniste et un macroniste. Je n'ai pas vu le maire du Creusot mener ce combat dans un contexte difficile. Lorsqu'on se cache et qu'on n'a aucune autre ligne politique que celle de se maintenir quoi qu'il en coute au pouvoir, au point de rejeter LFI le lundi pour s’allier avec eux le jeudi, on s'abstient de donner des leçons qui n'ont ni pertinence ni intérêt.


Le résultat de ces élections législatives, quelle que soit la durée incertaine du mandat des parlementaires est une alerte. Si une page se tourne, si l’époque change, il faut amener des pratiques nouvelles. Nous en avons assez des changements de cap permanents qui enlèvent toute substance à la parole publique. Il faut de la constance et je continuerai à suivre la même ligne sur cette circonscription comme je l’ai toujours fait.


Naturellement au Creusot aussi nous bâtissons consciencieusement un projet pour la ville avec tous ceux qui le souhaitent. Pour rassembler. Parce que s’il y a tout ici pour réussir, il faut le démontrer et traiter tous les sujets laissés depuis trop longtemps en jachère. Cet été les compétences se rassemblent, dès la rentrée le travail actif de rencontres directes avec les habitants recommencera.


C’est ainsi, loin des discours creux et des invectives qui les accompagnent, en proposant un projet politique ambitieux et crédible, que nous répondrons à l’impasse dans laquelle le pays semble être plongé. Les défis sont immenses. Nous pouvons les relever. Je m’y engage totalement.


Une époque s'achève, à nous d'en écrire une nouvelle

Le Creusot est passé en quelques décennies, de presque 40000 à 20000 habitants.

Avec la gare TGV, la proximité de l’A6, le pôle universitaire, l’IUT, la Scène Nationale, l’hôpital, une Communauté Urbaine, un tel socle industriel, c’est une anomalie.

Alors que le maire communique sur la « Silicon Valley » du Creusot il ne traite aucun des problèmes essentiels, accès à l’emploi, santé, sécurité, qui vous concernent. Il y a pourtant urgence.

Toutes les données démontrent que malgré ces atouts, la ville se dégrade. 

Nous le voyons dans les rues de la ville ou la population se paupérise. En témoignent, le taux de chômage Insee, 17,2 %, les parts de logements vacants (12,6 % contre 8,4% en France) ou des foyers fiscaux imposés (41 % contre 49 % en Saône-et-Loire, 44,8 % en France), les taux de pauvreté (19 % contre 14 % en France) ou d’activité des 15/64 ans (66 % contre 73,6 % en France). Enfin le taux de natalité, 9,5 naissances pour 1000 habitants, contre 11,45 en France sur la même période illustrent le manque d’installation de ménages jeunes en ville.

Le rôle de la mairie est de traiter enfin clairement ces problématiques essentielles.

Après avoir mis l’Hôtel Dieu en faillite en 2015, le maire s’est privé d’un levier d’action majeur et si nous avons alerté sur la baisse de la population médicale, nos propositions n’ont jamais été écoutées. Il y a pourtant urgence alors que le ministère ne recense plus que 10 généralistes.

En matière de sécurité que la Police municipale soit dotée de seulement 6 éléments (contre 5 en 2013) alors qu’en une décennie toutes les Polices municipales du département ont doublé en effectif, montre la passivité de la mairie. 

Enfin, l’absence de stratégie de diversification économique pèse sur la ville.

Les 16 millions d’euros investis sur un site technopolitain dont personne ne peut définir le rôle ou les déjà plus de 2,5 millions consacrés à subventionner l’essentiel des coûts de réalisation d’un cinéma 100 % privé, témoignent de cette navigation à vue.

Enfin la vision de l’urbanisme d’il y a un demi-siècle, des zones commerciales nouvelles à côté desquelles poussent les chaînes de restauration rapide, ne correspond pas aux pratiques contemporaines qui appellent à un centre-ville et des quartiers vivants. 

Vouloir maintenant recouvrir la place Schneider d’arbres, qui plus est à côté du Parc est tout aussi inepte.

Nous avons les moyens de relever le Creusot. Réveillons-nous et prenons enfin ces sujets à bras le corps. 

J'ai décidé d'être candidat à l'élection législative sur la 3eme circonscription de Saône et Loire.

Compte tenu de la situation politique particulièrement tendue du pays, j'ai pris le soin d'écouter les nombreux messages que vous m'avez fait parvenir.

La dissolution voulue par Emmanuel Macron et les alliances qui se nouent et se dénouent depuis lors, de l'extrême gauche à l'extrême droite, nous plongent dans une situation particulièrement incertaine.

Vous le savez, je n'ai jamais fui un combat et j'essaye de porter un message de constance, conforme à des valeurs.

Sur la 3eme circonscription, je n'ai eu de cesse de combattre le député sortant En Marche, Rémy Rebeyrotte dont chacun connaît le parcours et les compromissions. Le candidat commun de la France Insoumise et du Parti Socialiste comme l'énième parachutage d'un candidat du Rassemblement national ne répondent pas davantage à mes valeurs.

Aussi je propose une candidature libre, de droite, qui s'adresse à tous les électeurs. Nous nous sommes battus, sur notre territoire difficile, d'Issy l'Evêque à Verdun sur le Doubs, dans l'Autunois, la région du Creusot, la côte Chalonnaise, Épinac et Chagny.

Il me semble important de ne pas abandonner au milieu du chaos.

Dès demain je suis disponible pour rencontrer ceux qui le souhaitent. Dès la fin de semaine je déposerai ma candidature et je préparerai les quelques éléments qui serviront à cette campagne éclair. 

J'aurais pu me cacher sagement. Je sais que beaucoup nourrissent des espoirs dans la perspective de l'élection municipale de 2026. Je ne veux pas les décevoir mais les renforcer. J'estime que la gravité de la situation dans laquelle nous sommes exige de prendre position. Le combat, par sa brièveté et la force des autres, apparaît inégal. Je le mènerai.

Chaque voix comptera. En réalité, sur la 3eme circonscription de Saône et Loire, nous porterons la seule alternative sérieuse et crédible face au macronisme. À nous de le faire comprendre.

À l'issue des 3 semaines qui nous attendent, en espérant que nous fêterons une victoire, nous pourrons mener d'autres combats, bien mieux préparés et, je l'espère unis par ces valeurs que nous aurons su conserver.

Charles Landre candidat à l'élection législative 3e circonscription Saône et Loire

 Le Creusot est passé en quelques décennies, de presque 40000 à 20000 habitants. Avec une gare TGV, la proximité de l’autoroute, un pôle universitaire, un IUT, une Scène Nationale, un hôpital, une Communauté Urbaine, un tel socle industriel, c’est une anomalie et une incongruité.

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